![Couverture de Barbares, novella de Rich Larson, où l'on voit une immense créature dont la texture est celle d'une nébuleuse](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhU5WWxIy-Ofkm8y6uCRt4UvnaCiNbcaN-ehrT3M_vOFgUxIeJ9LtBUCnivzIkhngSjigBQ-HFW7EbiJC79JbgcSZh44ccbJGH-Peg75oX_5nV-A0bwdEU5-mOY-QCXimq8cU7Ob-PwrFkSSQ9cC3WgZVMYa8UXcKSrcBzjwUi5f_UnxpIEz9OEXLa0nKlU/w266-h400/barbares.jpg)
Mon mois de juin a été marqué par une panne de lecture assez phénoménale, puisque j’ai passé près de trois semaines sur un livre d’à peine 100 pages. J’ai presque envie de lui demander pardon de l’avoir ainsi maltraité, il n’en méritait pas tant !
Mon mois de juin a été marqué par une panne de lecture assez phénoménale, puisque j’ai passé près de trois semaines sur un livre d’à peine 100 pages. J’ai presque envie de lui demander pardon de l’avoir ainsi maltraité, il n’en méritait pas tant !
Et bien sans surprise le mois de juin a été assez minable. Fatigue, temps pourri et on ne peut pas dire que le contexte politique remonte le moral. Du coup j’ai joué à Mass Effect deuxième du nom, un peu, et j’ai lu des fanfictions Mass Effect, beaucoup. Et je vais probablement continuer…
Et nous voilà déjà arrivés à la fin de cette saison 14 qui est décidément passée trop vite.
Pour une fois la chronique unique pour deux épisodes se justifierait vu qu’il s’agit bien évidemment d’un épisode-double, mais c’est plus marrant de noter mes impressions au fur et à mesure… Comme d’habitude, divulgâchage !
J’avais entendu beaucoup de bien de ce livre alors je l’ai acheté aux dernières Utopiales. Du thé, des fantômes, tout cela ne pouvait que me plaire. Et je dois dire que j’ai trouvé le voyage plutôt intéressant.
Des fois je regrette un peu le bon vieux temps. Bon peut-être pas celui des
années 60 où les saisons comptaient 40 épisodes et beaucoup de remplissage,
mais les saisons des années 2000-2010 où les saisons de Doctor Who faisaient
13 épisodes (épisodes spéciaux non compris).
Même si cette saison
est globalement de qualité (si on oublie l’épisode 1), je me rends compte
qu’on arrive au grand final avec une étrange impression de ne pas avoir
complètement fait connaissance avec les personnages… Mais je m’égare, parlons
plutôt des épisodes diffusés, avec du divulgâchage comme toujours.
La dernière (et seule) fois que j’ai lu un roman de Walter Jon Williams, c’était un roman Star Wars (à la belle époque du Nouvel Ordre Jedi, les vrais savent comment c’était trop bien ce cycle). Bref je trouvais ça rigolo de lire un texte un peu plus « sérieux » pour découvrir ce qu’écrit vraiment ce monsieur comme genre de texte.
J’ai découvert Ray Nayler grâce à sa nouvelle Père, publiée dans Bifrost, et j’avais hâte de continuer à explorer son œuvre avec d’autres textes. C’est désormais chose faite avec ce superbe recueil de nouvelles.
Je me doutais que ça n’allait pas durer, le mois de mai a
été fatiguant et donc minable côté lecture. Bon en vrai j’ai lu… beaucoup
de fanfictions Mass Effect 🙈.
Vous vous rappelez l’enthousiasme du premier épisode spécial en novembre dernier où j’ai écrit ma chronique dans la foulée ? Je comptais sur ce même enthousiasme pour rédiger cette chronique mais visiblement il s’est fait la malle à bord du TARDIS avant même la fin du premier épisode de cette nouvelle saison… Bref j’ai un peu du mal à mettre le doigt sur le problème, mais ces deux premiers épisodes ne m’ont pas trop convaincue. Comme d’habitude, il y aura du divulgâchage !
Petit à petit, je continue à rattraper mon retard dans la collection Une heure-lumière. Aujourd’hui, j’ai donc retrouvé Adrian Tchaikovsky dont j’avais plutôt bien apprécié les précédents écrits, que ce soit sous forme de novella ou de roman.
Décidément, 2024 est une année prometteuse : cela faisait longtemps que je n’avais pas lu autant je crois. Ce que je n’arrive pas à comprendre, c’est que malgré cela, ma PàL refuse de diminuer, je me demande bien à quoi cela est dû 🤔…
Après avoir relu Dune, je ne me suis pas arrêtée en si bonne route et j’ai plus ou moins enchaîné directement sur Le Messie de Dune. Au moins j’aurais une longue d’avance pour la sortie du prochain film !
Après avoir passé un bon moment du côté de la Capital du Sud de Guillaume Chamanadjian, j’ai naturellement poursuivi ma lecture du cycle de la Tour de garde en faisant une incursion du côté de la trilogie Capital du Nord, signée par Claire Duvivier.
Il y a deux ans, j’ai lu mon premier texte de Catherine L. Moore dans la collection Dyschroniques, découvrant par la même occasion une autrice de l’âge d’or de la SF. Grâce à des conseils avisés reçus sur les réseaux sociaux (oui ça arrive !), je me suis procurée ce recueil afin de continuer à explorer l’œuvre de cette autrice.
Cela faisait déjà longtemps que j’avais envie de relire Dune, en partie en raison de son retour au cinéma. J’ai raté le coche lors de la sortie du premier volet de l’adaptation de Denis Villeneuve, mais une fois le deuxième film sorti, je n’avais plus d’excuses, alors je me suis jetée à l’eau (enfin…)
Nous voilà déjà en avril, ce qui veut dire que j’ai survécu à mon premier mois à mon nouveau boulot. On va faire simple : ce changement m’a fait le plus grand bien. Sinon j’ai quand même réussi à lire quelques livres et à regarder quelques séries. Et j’ai été malade deux fois parce que faut pas déconner non plus, on ne va pas changer une équipe qui gagne !
Je continue petit à petit à lire mes achats des dernières Utopiales. Dernièrement, je me suis lancée dans Paideia, un roman qui avait intrigué à sa sortie et qui a reçu le Prix Julia Verlanger… même que je n’ai jamais assisté à la remise du dit prix vu que j’étais à la librairie en train d’acheter le livre !
Chaque année, les éditions du Bélial’ proposent un hors-série à leur collection de novellas offert pour l’achat de deux titres. Ma tradition personnelle consiste à me jeter dessus dès sa sortie pour mieux l’abandonner pendant plusieurs mois. Au moins cette année j’ai fait un effort, je l’ai lu avant la sortie du suivant !
Voilà déjà un moment que je vois tout mon entourage s’enthousiasmer pour le cycle La Tour de garde, écrit par Guillaume Chamanadjian et Claire Duvivier. Jusqu’à récemment je pouvais encore prétendre attendre que l’ensemble du cycle soit paru, mais désormais je ne peux plus reculer, alors en avant !
Je m’avance peut-être mais je pense que février est bien parti pour être le mois le plus rempli d’un point de vue culturel pour cette année. J’ai même été au cinéma, c’est dire ! Merci les quelques jours de congés entre deux boulots. En mars, ça ne sera pas la même chanson…
J’étais bien contente de voir ce texte réédité l’année dernière, d’autant plus qu’il m’avait beaucoup marquée lorsque je l’avais découvert dans le Livre d’or consacré à cette autrice. Et comme ma lecture remontait à presque dix ans, je n’ai pas pu résister à une petite relecture.
Allez il est temps de continuer mon rattrapage de la collection UHL avec Connexions, une novella sortie il y a presque un an. À l’époque j’avais vu passer des avis très enthousiastes et d’autres beaucoup moins, du coup j’ai préféré tout oublier avant de me plonger dans sa lecture…
Cela faisait un long moment que j’avais en tête de rattraper ce classique de George Orwell, et c’est la chronique d’Alys qui m’a donné envie de m’y coller. En plus, c’est un livre assez court, ce qui m’arrange bien : je n’avais pas envie de signer pour un nouveau livre audio de 20h que j’aurais mis trois mois à finir !
C’était le dernier jour des Utopiales et je faisais un petit tour dans la librairie dévalisée en quête d’un éventuel dernier achat d'impulsion. J’ai alors croisé Erwann du Bélial’ qui m’a recommandé ce livre. J’ai trouvé cela d’autant plus approprié que c’était mon septième achat. Et c’était une très bonne recommandation !
Oh la la mais quel démarrage en fanfare ! D’habitude janvier est
un mois où je ne lis pas grand-chose et où le blog prend des vacances alors
que là : six articles écrits, six livres lus (bon OK deux étaient déjà bien
avancés en 2023 mais chut !) et même des séries visionnées, c’est
EXTRAORDINAIRE.
(et j’ai même donné une interview chez Anudar ce mois-ci,
c’est vraiment la fête !)
Nancy Kress est une autrice que j’apprécie beaucoup, particulièrement au format nouvelle. J’étais donc bien contente de me procurer ce recueil qui regroupe des textes publiés dans différentes anthologies.
Lors de mon avant-dernier Noël, le hasard m’avait fait emprunter à ma maman deux livres d’imaginaire ou peu s’en faut. Il était donc plus que temps que j’en lise au moins un, ce qui m’a permis de lui rendre au Nouvel an (si vous voulez tout savoir)(et en fait il s’avère que c’était en fait un livre que ma sœur avait prêté à ma mère qui me l’a prêté en attendant d’avoir le temps de le lire)(non nous n’avons aucun problème avec les livres dans la famille).
Tandis que certains aiment publier leur bilan dès le mois de décembre, je fais partie de ceux qui préfèrent faire cela en janvier, le temps de laisser un peu reposer mes idées (c’est un peu juilletistes vs. aoûtiens en version hivernale). Comme les deux années précédentes, il y aura du blabla, des chiffres et bien sûr un top (un top combien ? Il faut lire pour savoir…).
Ah tiens, c’est déjà janvier ? Et bien bonne année à tous et toutes. Qu’elle soit riche en belles lectures et autres découvertes culturelles, et exempte de virus (en tout cas je me le souhaite à moi !). Et avant de faire le bilan de l’année écoulée, commençons par celui des mois de novembre et décembre.