samedi 28 juillet 2018

Aux douze vents du monde – Ursula K. Le Guin


Si la plupart des romans d’Ursula K. Le Guin sont faciles à se procurer en français, il n’en est pas forcément de même pour ses nouvelles dispatchées dans de multiples ouvrages parfois difficiles à dénicher. Heureusement quelques éditeurs se sont penchés sur la question. Ainsi, après ActuSF qui a récemment réédité trois de ses textes dans L’effet Churten, Le Bélial’ a mis à son tour la main à la pâte en proposant cette année une version enfin complète du tout premier recueil de nouvelles de l’autrice.

mercredi 25 juillet 2018

[Tag] En coulisse


Je pourrais profiter du fait que je lis lentement en ce moment pour avancer quelques articles de fond auxquels j’aimerais vraiment me consacrer, mais faute de temps, rien de mieux qu’un petit tag pour passer le temps. Merci à Alys (qui m’a tagué) et au Chien critique (qui l’a créé).

samedi 21 juillet 2018

Mission Kitchenette – Frank Arif & Olivier Gechter


Ce n'est pas forcément mon genre de chroniquer les livres de cuisine (quoique je m'étais déjà penchée sur le Gastronogeek), mais comme celui-ci était co-écrit par Olivier Gechter, auteur du Baron noir (vous n’avez pas lu le Baron noir ? Lisez le Baron noir) et plutôt bon connaisseur du domaine si on se fie à sa conférence sur la cuisine post-apo aux Utopiales, il fallait forcément que je me penche dessus.

samedi 14 juillet 2018

Carbone modifié – Richard Morgan


Avec l’arrivée de l’adaptation en série sur Netflix, Carbone modifié a refait parler de lui cette année, et Monsieur m’ayant encouragée à le lire, je me suis donc lancée dedans… à un moment où j’avais le plus grand mal à lire, hélas. Il est donc probable que ce livre souffre comme pas mal de mes dernières lectures du syndrome « pas lu au bon moment », mais cela ne m’empêchera pas de vous en dire quelques mots.

lundi 2 juillet 2018

Solo : a Star Wars story – Ron Howard


De tous les projets de films Star Wars, Solo était celui qui me faisait le moins rêver : on sentait un peu trop l’opportunisme du sujet et sa gestation chaotique (les premiers réalisateurs ont été virés pour divergence artistique) n’avait rien de rassurant. Si le résultat n’est pas la catastrophe annoncée et se révèle plutôt divertissant, il est malheureusement un peu trop planplan pour marquer vraiment les esprits.