Les affaires reprennent (un peu) en cette fin de mois. Grâce à quelques jours de vacances j’ai réussi à lire l’anthologie des Utopiales 2024 juste avant d’aller acheter l’édition 2025. Ouf, l’honneur est sauf !
Les affaires reprennent (un peu) en cette fin de mois. Grâce à quelques jours de vacances j’ai réussi à lire l’anthologie des Utopiales 2024 juste avant d’aller acheter l’édition 2025. Ouf, l’honneur est sauf !

À l’origine, j’avais prévu un recueil factice début septembre,
mais celui-ci n’étant toujours pas publié à la moitié du mois, j’ai préféré le
reporter, d’autant plus que je n’ai pas beaucoup lu au mois de septembre.
J’aimerais dire que c’est la rentrée (un peu), la reprise à temps complet
(aussi), le retour des virus (ça vous avait manqué, hein ?), mais le
principale coupable s’appelle, en toute sobriété et plus de 150 heures de jeu
plus tard, Dragon Age : Inquisition 🐉.
Je profite cependant
de cette intro pour signaler qu’entre deux combats contre des démons et des
longues séances de « quelle sera la couleur de ma nouvelle armure ? », j’ai
tout de même mis à jour
mon guide sur Ursula K. Le Guin
avec les parutions de ces dernières années. Oui j’ai bossé un peu cet été
!

Quand je ne suis pas occupée à évacuer mon stock de novellas des collections UHL ou RéciFs, je jette un œil à la collection Dyschroniques du Passager clandestin, qui fait un beau boulot de remise en avant de textes plus ou moins anciens. Et celui-ci est vraiment une très belle trouvaille.

Ce n’était pas une lecture prévue cet été, mais figurez-vous que j’ai trouvé ce livre dans une boîte à livres à côté d’une gare, et comme je tournais autour de ce livre depuis sa sortie j’ai pris ça pour un signe. Et je me suis surprise à abandonner ma lecture en cours pour lui faire un sort.
D’habitude lorsque je pars en vacances l’été, j’emmène quelques vieilleries de ma PàL pour leur faire un sort, mais comme j’avais déjà bien fait pas mal de ménage pour une fois, à la place j’ai acheté quelques nouveautés pour ma liseuse. J’en ai donc profité pour continuer à explorer l’œuvre d’Octavia Butler avec cette duologie post-apo (quoi de plus joyeux pour lire sur le transat ?).

Ce n’est pas forcément mon habitude d’enchaîner les textes d’un même auteur en si peu de temps, mais le hasard a fait qu’avec La montagne dans la mer tout frais dans ma tête, j’ai retrouvé Ray Nayler, sauf que cette fois-ci ce n’était pas sur une plage mais en Sibérie.
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| Puisqu'on est parti dans un trip nostalgique, voilà mon fond d'écran avant la sortie du premier film |