
Je continue à explorer la collection de novellas RéciFs des éditions Argyll. J’ai donc laissé de côté mes anarchistes en vadrouille pour me rendre au sein d’une communauté religieuse, autant dire que l’ambiance n’est pas la même.
Je continue à explorer la collection de novellas RéciFs des éditions Argyll. J’ai donc laissé de côté mes anarchistes en vadrouille pour me rendre au sein d’une communauté religieuse, autant dire que l’ambiance n’est pas la même.
Est-ce que j’ai terminé ma partie en cours de Stardew Valley (si tant est qu’on puisse terminer ce jeu) ? Oui. Est-ce que j’en ai redémarré une autre parce que je n’allais pas reprendre Dragon Age : Inquisition avant de partir en vacances ? Peut-être bien 😅. Ce qui ne m’empêchera pas de publier le bilan de juillet, plutôt bien rempli.
Occurrence assez rare pour être remarqué, ce titre de la collection Une heure-lumière a été lu sur une journée, au gré de trop nombreux trajets dans les transports. C’est un plaisir rare en dehors des vacances (et même pendant les vacances), alors ne le boudons pas. D’ailleurs, en parlant de vacances…
Après avoir bien apprécié le recueil de nouvelles de Ray Nayler, Protectorats, je me suis assez logiquement intéressée à son premier roman, La montagne dans la mer, fraîchement traduit l’année dernière, et que j’ai acheté sans même savoir ce quoi ça allait parler.
Après L’agneau égorgera le lion, Margaret Killjoy a continué explorer son univers atypique qui mêle anarchiste et rituels magiques divers et variés, et comme vous vous en doutez en voyant ce titre, il se pourrait qu’on parle cette fois-ci de nécromancie…
Même si j’ai probablement passé trop de temps à faire pousser des melons dans Stardew Valley, j’ai tout de même une petite réussite à mon actif : j’ai repris la lecture dans les transports en commun, au lieu de scroller sans fin sur mon téléphone. On va essayer de s’y tenir en juillet...
Cela me fait une certaine peine après toutes ces années à écrire des comptes rendus détaillés de chaque épisode de Doctor Who, de repasser à un article pour la saison entière, mais le fait est que j’ai moins de choses à dire qu’avant. En souvenir du bon vieux temps, j’ai essayé de l’écrire au fil de l’eau afin d’avoir mes impressions au fur et à mesure. Forcément, il y aura des spoilers, surtout sur la fin...
Et bien me voilà de retour ! Après un voyage de presque 60 heures (70 si on ajoute Le Hobbit), je suis venue à bout de mon épopée en Terre du Milieu. C’était épique, c’était émouvant, c’était parfois drôle ou touchant lorsqu’on ne s’y attend pas, bref c’était grandiose !
On pourrait penser qu’avec la palanquée de jours fériés au mois de mai, j’aurais eu du temps pour bloguer mais ça a surtout été une période fatigante pour plein de raisons, si bien que c’est le 1er juin que j’ai commencé à me dire « mais au fait, t’as pas des articles à écrire ? ».
Il m’aura fallu une semaine de vacances pour prendre le temps de me mettre dans ce roman d’Alastair Reynolds, après quoi j’ai eu du mal à le lâcher. Cette semaine sera fort loin le temps que cet article soit publié, ce qui sied à merveille à la dilatation temporelle permanente qui règne sur ce livre. Bref j’ai lu La maison des soleils et c’était une très chouette lecture.
C’est marrant, la toute première fois que j’ai lu Le Seigneur des Anneaux, j’ai passé trois semaines sur le tome 1 et un week-end sur les tomes 2 et 3. Et c’est un peu toujours le cas. Je prends toujours mon temps en commençant, et j’accélère ensuite, comme si l’urgence qui touchait les héros m’affectait moi aussi. Toujours est-il qu’à peine un mois après l’avoir commencé, j’ai déjà terminé le deuxième tome !
Je n’ai pas fait un décompte scrupuleux mais il me semble bien que Ken Liu est l’un des auteurs les plus édités dans la collection avec quatre novellas à son actif (à égalité avec Claire North). Et comme on est rarement déçu avec ses écrits, c’est toujours avec plaisir que je découvre chaque nouvelle parution.
Continuons le rattrapage des novellas sorties en 2024 dans la collection Une heure-lumière avec L’automate de Nuremberg, réédition d’un texte paru dans Bifrost en 2006. Et c’est plutôt une bonne idée de remettre ce texte sur le devant de la scène.
J’avais déjà beaucoup apprécié la plume d’Adam-Troy Castro au travers des aventures d’Andrea Cort, j’ai donc été très contente de le retrouver au sein de la collection Une heure-lumière, d’autant plus que ces deux novellas viennent justement enrichir l’univers où évolue notre enquêtrice favorite…
Je n’ai pas écrit grand-chose en avril mais j’ai tout de
même lu pas mal de petits textes, alors en attendant que je rattrape mes
chroniques en retard, quelques brèves !
J’aurais bien des choses à raconter sur ce mois de mars pourri, mais cela ne sied guère à une introduction, alors on verra ça à la fin et en attendant, faisons distraction et parlons plutôt lectures et autres découvertes culturelles.
En terminant ma relecture du Hobbit au format audio en décembre dernier, je ne pensais pas que je repartirai si vite que cela en Terre du Milieu, mais ce voyage s’est imposé de lui-même en ce début d’année pour contrer la morosité. J’aurais pu me contenter d’un article lorsque j’aurais terminé la trilogie, mais comme j’avais déjà pas mal de choses à dire, c’est parti pour un premier compte rendu.
Ces derniers temps, j’avais essayé de lire un Une heure-lumière par mois pour rattraper mon retard dans la collection, mais je ne sais pas où je me suis égarée mais je n’en avais lu aucun depuis octobre. Et voilà que les parutions de mai 2025 ont été annoncées alors que je n’ai toujours pas lu ceux de l’année précédente, alors en avant !
D’ordinaire, j’essaye d’être un peu plus ponctuelle que cela pour mon bilan mensuel, mais figurez-vous que j’ai cumulé les vacances scolaires et un changement de PC. Il est possible que j’ai été légèrement distraite, occupée que j’étais à transférer mes fichiers...
Ce mois de février n’étant pas très enthousiasmant, je suis partie dans des relectures pour me réconforter, ce qui m’a amené à me repencher sur l’un des romans les plus connus d’Ursula K. Le Guin, Les Dépossédés. Allais-je le trouver aussi passionnant et bouleversant que lorsque je l’ai découvert il y a quinze ans ? Suspense…
De Chloé Chevalier, j’avais lu Récits du Demi-Loup, un cycle de fantasy que j’avais trouvé très intéressant. J’ai profité d’un passage aux Utopiales pour me procurer son dernier texte, Les essaims, une novella de SF parue dans Le Labo, une nouvelle collection de novellas (encore une !) accolée à la célèbre collection Ailleurs & Demain.
Les éditions Scylla organisent actuellement un financement participatif pour leur sixième ouvrage. J’allais participer les yeux fermés comme d’habitude car ce sont toujours des livres aussi beaux qu’intéressants. Cependant, j’ai eu l’occasion de lire en avant-première alors je vous en touche quelques mots.
J’avais écrit une première version de cette introduction samedi dernier, où je disais que j’allais faire bref parce que j’avais prévu de profiter du soleil. J’en ai tellement profité que je n’ai jamais publié cet article ! Heureusement, le temps gris est de retour, je n’ai donc plus d’excuses pour ne pas m’occuper du bilan de ce mois de janvier assez déprimant, mais égayé fort heureusement par de bonnes lectures et de chouettes séries (et même deux films !).
Le dernier recueil factice de l’année, c’est fait.
L’épisode de Noël de
Doctor Who, c’est fait.
Allez, on s’y met à ce bilan annuel avant qu’on
soit déjà en février ?
C’est Noël (enfin c’était Noël il y a quelques temps), et qui dit Noël dit épisode de Doctor Who, comme le veut une tradition bien établie. Cette année, la série joue la carte de l’épisode complètement déconnecté de l’intrigue principale mais avec Steven Moffat au scénario, vous vous doutez que ça ne manquera pas de timey-wimey.
Une fois n’est pas coutume, je ne suis pas en avance pour publier
mon bilan de décembre.
J’en profite donc pour vous souhaiter une
excellente année 2025 🎉.
Je vous souhaite de belles découvertes
culturelles, plein de bonnes choses en général et que les virus se tiennent à
distance (pas comme chez moi 😅).